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Nos apprenties et apprentis: les spécialistes de demain

13 juin 2023 | Paula Heiss

L’Eawag s’engage depuis de nombreuses années dans la formation professionnelle. En 2022, huit jeunes ont achevé leur apprentissage et neuf autres ont entamé leur vie professionnelle. Nous vous présentons quatre apprenants sous forme de portraits courts.

Annina Gsell, CFC laborantine en chimie, 3e année

Annina Gsell travaille au laboratoire d’analyse et d’apprentissage où elle étudie des échantillons d’eau. «Nous faisons principalement de la photométrie», explique-t-elle. Qu’est-ce qui, d’après elle, est important dans son métier? Elle répond: «Il faut exécuter son travail avec précision tout en restant critique». À l’Eawag, elle apprécie particulièrement la variété des activités et rencontres. «On rencontre sans cesse de nouvelles personnes, est confronté à de nouvelles analyses, découvre de nouvelles entreprises. C’est un bon moyen d’envisager une voie pour l’avenir.» Dans l’immédiat, elle prépare son examen et prévoit peutêtre de faire des études.
 

Max Hofland, CFC laborantin en biologie, 3e année

«Je cherchais une place d’apprenti laborantin en biologie et j’ai pu faire une journée d’essai à l’Eawag; ils m’ont emmené sur le lac de Greifen», raconte Max Hofland. La diversité des tâches à accomplir et la bonne impression laissée par cette expérience l’ont poussé à poser sa candidature à l’Eawag. En tant que laborantin, il doit suivre les protocoles et travailler avec précision. Le travail en équipe est, lui aussi, très important. «À l’Eawag, j’apprécie beaucoup les personnes qui y travaillent et la bonne ambiance qui y règne». Il aimerait donc beaucoup y rester après son apprentissage.
 

Paula Heiss, CFC employée de commerce, 2e année

Dès la première année, Paula Heiss a déjà découvert et apprécié de nombreuses facettes de l’Eawag. La diversité des tâches à accomplir et le fait de travailler dans différents départements successifs l’ont séduite. «Ce que j’aime particulièrement à l’Eawag, c’est que les apprentis sont associés à toutes les activités dès le début. Ils peuvent participer aux réunions et colloques, aider à organiser la journée d’information, mener des interviews. Le climat de travail aussi, me plait beaucoup», indique-t-elle. Elle ne sait pas encore ce qu’elle fera à l’avenir. Avant toute chose, terminer son apprentissage.
 

Noel Läderach, CFC spécialiste des TIC, 1e année

«C’est à la matinée d’information sur les métiers que j’ai eu mon premier contact avec l’Eawag», raconte Noel Läderach. Il travaille à l’assistance technique et informatique de divers départements et installe le matériel des postes de travail. Il sera plus tard affecté à des départements précis dont il aura la responsabilité. «En tant que spécialiste des TIC, il faut être d’un bon contact avec les gens et savoir se montrer compréhensif », révèle-t-il. Il apprécie beaucoup le travail à l’Eawag. C’est en grande partie dû aux autres personnes qui y travaillent et au bon climat de travail. Il n’a pas encore d’idée précise pour l’avenir.
 

Photo de couverture: Photos: Eawag, Peter Penicka

Publication originale

Cet article a déjà paru dans le rapport d'activité 2022